Les Mouvements Raélien Français et Sud-Américain appellent conjointement les Guyanais à s’engager sur la voie de l’indépendance.
Les Mouvements Raélien Français et Sud-Américain appellent conjointement les Guyanais à s’engager sur la voie de l’indépendance.
Comme le rappelle Raël, fondateur et leader du Mouvement Raélien International, « la dernière colonie européenne en Amérique du sud est française et elle méprise ses habitants. Il est temps qu’elle obtienne son indépendance. Tous les autres Etats d’Amérique du sud devraient la soutenir dans ce sens. »De passage en France, David Uzal, leader du Mouvement Raélien Sud-Américain, annonce que des actions de sensibilisation à « l’indépendance de la Guyane » seront menées sur l’ensemble de ce Continent, dans le cadre de la campagne de décolonisation radicale du Continent dit Latino-Américain que mènent les Raéliens : http://www.descolonizacion.org/fr/objectifs-decolonisation/notre-vision-du-continent/.
Il précise : « Pour le bien du peuple Guyanais et pour celui de la France, il convient qu’un processus d’émancipation s’engage et soit conduit à son terme, maintenant que la société civile guyanaise a montré sa cohésion. Jusqu’à présent la fragmentation de celle-ci faisait de la Guyane un cas à part parmi les territoires et régions qui devront à moyen ou court terme se séparer du territoire français. Les rassemblements de ces dernières semaines montrent que la Guyane a atteint un stade de maturité pour constituer une société diverse et à la fois unifiée qui prendra en charge ce riche territoire de 91 000 km2, soit trois fois la superficie de la Belgique. »
En Guyane, la France est confrontée à une situation perdante dans tous les cas de figure. Si elle investit massivement pour relever les conditions de vie et les infrastructures au niveau de la métropole, elle provoquera un afflux considérable et incontrôlable des populations démunies des pays voisins : Suriname, nord du Brésil, Guyana. Si elle n’investit pas, le mécontentement ira croissant et alors elle s’embourbera dans les conflits sociaux à répétition et perdra le contrôle du pays et de la base spatiale de Kourou.
« De toute façon la Guyane devient pour la France un gouffre en ressources humaines et financières. Il est donc préférable pour les deux parties de s’engager dès à présent dans un processus constructif et responsable de séparation. » ajoute le leader Sud-Américain.Diane Brisebois, leader du Mouvement Raélien de Guyane précise : « je vois d’un très bon œil que le futur état indépendant de Guyane puisse être le pays qui accepte sur son sol l’Ambassade que le Mouvement Raélien prévoit de construire dans les prochaines années pour y accueillir les Elohim (*), les créateurs extra-terrestres de l’humanité. »
« Nous informons le peuple guyanais que nous serons derrière leur indépendance, au nom de la justice entre les nations et du bon sens géopolitique. S’il advenait qu’ensuite cet état libre et indépendant nous offre l’extraterritorialité nécessaire à notre projet d’Ambassade, cette nation nouvellement constituée en tirerait d’immenses avantages. Ne serait-il pas naturel que ce pays qui envoie des fusées dans l’espace fût le premier à recevoir des visiteurs de l’espace ? » conclut-elle.www.descolonizacion.org* (*) Elohim : mot hébreux ancien signifiant « ceux qui sont venus du ciel »