Les athlètes tibétains, qui sont sous le contrôle de la Chine depuis1951, ne pourront participer aux jeux olympiques de Pékin qu’en possession de l’autorisation du comité Olympique national de Chine.La situation pour certain de ces sportifs rejetés est bien pire car ils sont pour la plupart réfugiés politique ou religieux d’en d’autres pays.
Les athlètes tibétains, qui sont sous le contrôle de la Chine depuis1951, ne pourront participer aux jeux olympiques de Pékin qu’en possession de l’autorisation du comité Olympique national de Chine.La situation pour certain de ces sportifs rejetés est bien pire car ils sont pour la plupart réfugiés politique ou religieux d’en d’autres pays. Ils ont été chassés de leur terre natale, et maintenant on les chasse des jeux Olympiques.
Dans un communiqué du 14 décembre, Raël donna des indications précises sur ce qu’il appel « le dénis de certains droits fondamentaux de l’homme » au jeux olympiques en août.
Après avoir appris la décision du comité olympique chinois de ne pas donner le droit au Tibet d’envoyer une équipe aux jeu il explique, « la meilleure solution pour tous les athlètes serait de les autoriser à concourir en tant que sportifs indépendants affiliés à aucun pays quel qu’il soit. Cela devrait être leur droit fondamental, et cela aiderait la lutte contre le nationalisme, qui est un des plus sérieux obstacles à la paix mondiale.Mais jusqu’à présent ce droit n’existe pas. »
Il ajoute, « les athlètes devraient bien sur avoir le droit fondamental de porter tous ce qu’ils décident de porter, et non d’être forcés à porter un uniforme national. Ils ne devraient pas non plus être obligés à recevoir leurs médailles sur le podium sur un hymne national militaire, ou bien de se tenir devant un drapeau national.
Ces conventions non nécessaires et destructrices venant du passé ne sont pas seulement stupides mais elles sont aussi la base de nombreux sentiments de violence. Il vous suffirait seulement de porter votre attention sur les vagues de violence dans les stades de football pour voir l’évidence »