Plaisir, rires, surprises, tendresse sont présents lors de journées où les Raeliens se réunissent.

Plaisir, rires, surprises, tendresse sont présents lors de journées où les Raeliens se réunissent.
Mariella Cossu, Marc Girard et Michel Devaux, Guides prêtres, responsables respectivement des régions françaises du Sud Ouest, de la Méditérannée et d’Ile de France, ont conduit récemment des réunions avec pour fil conducteur le thème: « Les illusions ».
Qu'elles soient dans la vie personnelle ou sociale, propagées par les publicités, les médias, les politiques ou dans le cerveau avec les illusions du mental, les illusions n'en demeure pas moins un thème ludique, tout au moins pour les Raëliens.
Le plaisir s'est fait ressentir à travers des tours de magie, des illusions d'optique, des illusions auditives de paroles de chansons détournées de leur sens ou encore d'un jeu d'énigmes qui a bien illusionné tous les participants.
Face aux illusions, ont été évoqués : le bonheur de ressentir le silence et l’importance de prendre « trois pas de recul », en dirigeant son esprit, comme l’enseigne Raël, vers des questions « élevantes » : des questions qui touchent à la conscience, à l’infini, à l’humanité dans sa globalité.
Des moments de recueillement et de religiosité avec des méditations ont ponctué ces belles journées. « Je ressens l’orgueil comme une manière de s’illusionner sur soi-même », a partagé Maryline Canin, Raëlienne de Paris, « et un des antidotes est de développer l’humilité à travers la prière » a-t-elle ajouté.
Le thème des « illusions » a été un moyen de prendre conscience et d’effacer l'illusion des séparations et des divisions, à toutes les échelles (frontières, races, religion…) pour laisser la place à l’amour, la liberté, au sentiment d’unité.
Corinne, qui a participé à l’une de ces journées témoigne :
" Je suis venue pour la première fois ce dimanche à la séance de relaxation/méditation en lien avec le thème de l'illusion. Merci de m'avoir accueillie, chaleureusement. Le thème de l'illusion est entré en résonnance directe avec qui je suis, mon cheminement, mes interrogations. Faire la démarche de venir jusqu'aux Raëliens (malgré la presse qui leur est faite et dont j'étais informée) a été en quelque sorte : poser l'acte de ne pas accepter pour argent comptant ce dont les médias nous abreuvent, savoir prendre du recul afin de garder ma propre conscience, ma propre liberté. Trop de cadres nous sont imposés et il me fut doux d'aller au delà de ce cadre..."