Le récent rapport pour la protection des enfants des ‘‘sectes’’ s’en prend aux petites minorités religieuses dont le seul crime est de donner une éducation privée à leurs enfants, en les gardant à l’écart de la société.
Le récent rapport pour la protection des enfants des ‘‘sectes’’ s’en prend aux petites minorités religieuses dont le seul crime est de donner une éducation privée à leurs enfants, en les gardant à l’écart de la société. RAËL rappelle qu’il y a beaucoup plus grave : chaque jour des enfants sont mutilés sexuellement par des ‘‘sectes’’ appelées religions, tels les Juifs ou les Musulmans et sans que ni les parlementaires français, ni la Mivilude ni l’Adefi n’y trouvent à redire. Qu’est ce qui est le plus grave : mutiler sexuellement des enfants pour le reste de leur vie au nom d’une croyance qu’ils ne partageront pas forcément une fois qu’ils seront adultes ou les éduquer à l’écart des pollutions médiatiques ?
Pourquoi, ni le rapport parlementaire français, ni la Mivilude ni l’Adefi ne s’en prennent aux minorités juives orthodoxes et musulmanes intégristes qui, elles aussi, élèvent leurs enfants à l’écart de la société et sans leur permettre de regarder la télévision et donc de ‘‘savoir qui est Zidane’’ pour reprendre l’expression d’un député de cette commission... (On peut au passage se demander quelle est l’utilité de ‘‘savoir qui est Zidane’’ ? ...)
Ces autorités françaises ont-elles peur d’être accusées ‘‘d’antisémitisme’’ en s’en prenant aux juifs orthodoxes vivant repliés sur eux-mêmes ou d’être victimes d’attaques terroristes en dénonçant les communautés musulmanes intégristes élevant, elles aussi, leurs enfants en circuit fermé et coupés de la société ?
Le plus grave est que les mêmes parlementaires, Mivilude et Adefi qui volent au secours de ces malheureux enfants qui n’ont pas le privilège de ‘‘savoir qui est Zidane’’, ne font absolument rien pour faire cesser les mutilations sexuelles imposées par la force à des petits enfants par les Juifs orthodoxes et les Musulmans intégristes en France. Si une secte coupait rituellement le bout de l’oreille des enfants de ses membres les autorités feraient bienheureusement immédiatement emprisonner tout le monde et feraient aussitôt cesser ces mutilations. Mais la circoncision – qui coupe une partie bien plus importante du corps des enfants juifs et musulmans et qui déterminera leur vie sexuelle future – est tolérée, elle, et personne ne dénonce cela. De plus en plus de jeunes juifs aux États-Unis poursuivent leurs familles à cause de cette mutilation qu’ils ont eu à subir étant enfant et un hôpital s’est même spécialisé dans la réparation des prépuces endommagés.
Pourquoi donc les parlementaires français, la Mivilude et l’Adefi ne dénoncent-ils pas ces pratiques qui mutilent à vie de jeunes enfants et ne réclament-ils pas leur interdiction plutôt que de s’en prendre aux communautés dont le seul crime est d’empêcher leurs enfants de savoir qui est Zidane ?