Le cycle de conférences, commencé à Paris le 12 décembre, s’est achevé en Belgique, à Bruxelles, le 2 mai.
Le cycle de conférences, commencé à Paris le 12 décembre, s’est achevé en Belgique, à Bruxelles, le 2 mai.
Fany Charpentier, assistante guide et l’une des conférencières, témoigne.
" Plutôt qu’une fin, nous vivons ce moment comme un commencement. Partout où nous avons animé ces conférences - 9 au total - que ce soit en France ou au Luxembourg, l’accueil a été très positif. Ici, à Bruxelles, les réactions du public ont encore monté d’un cran, voire de deux ou trois."
Jean Pierre Saulnier, Guide Raëlien, coordinateur de cette tournée de conférences, confirme cet élan : "Suite à notre passage à Bruxelles, un groupe d’auditeurs venus à cette conférence aurait l’intention de créer le mouvement pour le paradisme en Belgique."
Retour sur la conférence
"Le public très diversifié, composé de personnes de tout âge, provenant de milieux différents, a exprimé un véritable intérêt aux principes du paradisme, exposés par Jean-Pierre. Les questions posées après la pause, révélaient l’envie de faire 'avancer les choses'.
Il faut dire qu’Eric Remacle, guide Raëlien et coordinateur en Belgique a su expliquer l’importance de changer, voire d’abandonner certains paradigmes pour appréhender le paradisme.
Idée reprise par Fany qui à propos d’éducation, a souligné la nécessité de se débarrasser de conditionnements plus ou moins induits par le système et des siècles de traditions plus du tout adaptées au monde d’aujourd’hui et de demain. Il s’agit au contraire, de devenir acteurs de changements permanents pour construire un monde de paix, de prospérité et d’amour.
Avec Osiris, qui a exprimé l’importance d’aimer les différences, véritable source d’enrichissements de l’humanité, le public s’est montré perméable à l’idée d’un monde sans travail, sans argent et sans personnages politiques mais caractérisé par une autogestion dans le respect des différences ! A ce propos, Jean-Pierre a rappelé que la Belgique avait très bien vécu sans gouvernement pendant un an et demi et que le peuple belge pouvait alors envisager de se servir de cette expérience et de montrer l’exemple au monde.
Quant à Jean Regolle, assistant guide, il a su montrer avec humour et pertinence le visage de villes nouvelles et tellement plus humaines dans le respect total de la nature.
Non moins sans humour, François Pithon, médecin, ophtalmologue et chercheur a expliqué l’importance d’une réorganisation de la santé planétaire en privilégiant la prévention à la médecine curative beaucoup plus coûteuse et beaucoup moins efficace. Il a expliqué clairement la nécessité d’un contrôle strict des naissances pour faire baisser la démographie : permettre la naissance d’un seul enfant par couple ce qui permettrait à l’humanité de retrouver le chiffre de 5 milliards et ceci en utilisant l’image de 7 personnes dans une voiture à 5 places pour illustrer la situation actuelle.
Un monde sans argent, sans travail, sans politiciens serait-il pour bientôt ? Un rêve qui pourrait devenir réalité.