Alors que la communauté scientifique est en émoi suite à l'annonce de la découverte du boson de Higgs, avec un degré de confiance de plus de 99%, Raël rappelle aux scientifiques que la découverte de cette particule ne doit pas être prise comme l'ultime explication de la structure de l'univers.
Alors que la communauté scientifique est en émoi suite à l'annonce de la découverte du boson de Higgs, avec un degré de confiance de plus de 99%, Raël rappelle aux scientifiques que la découverte de cette particule ne doit pas être prise comme l'ultime explication de la structure de l'univers.
« Les scientifiques étudiant le boson de Higgs font la même erreur que leurs homologues lors de la découverte de "l'atome’’ qui représentait alors “le plus petit élément de matière indivisible " » précise Raël. « Dans quelques temps, il sera prouver que ce boson de Higgs est constitué de particules encore plus petites, et ainsi de suite. Ces découvertes se poursuivront jusqu'à ce que les scientifiques enfin réalisent que l'univers est infini dans les deux sens : vers l'infiniment petit, tout comme vers l'infiniment grand. Rien ne peut exister qui ne soit constitué de quelque chose de plus petit et rien ne peut exister sans faire partie de quelque chose de plus grand ».
« La structure infinie de l'univers constitue un des principes de base de la philosophie raëlienne », explique le Dr Brigitte Boisselier, porte-parole du Mouvement Raëlien. « Selon le Message donné à Raël par les scientifiques qui nous ont créés, notre planète n'est qu'une des nombreuses particules d'un atome de l'être gigantesque dont nous faisons partie, tout comme il y a de la vie intelligente dans les particules des atomes qui nous composent. En augmentant de plus en plus l'énergie utilisée pour effectuer les milliards de collisions atomiques qui ont été nécessaires à l'obtention des données citées précédemment, les scientifiques ont simplement pu observer un autre niveau de l'infiniment petit ».
Brigitte Boisselier souligne que le processus ne pourra jamais être achevé, compte tenu de la nature infinie de l'univers, telle que décrite par Raël.
« Avec les milliards de dollars supplémentaires dépensés pour provoquer des milliards de collisions additionnelles, il n'y a aucun doute que d'autres particules vont apparaître dans les données », ajoute-t-elle « Nous espérons que parmi les milliers de personnes qui collaborent à l'analyse de ces données, il y en aura quelques-unes qui sauront s'interroger et éventuellement reconnaître la structure fractale sous-jacente de l'univers infini. »
Elle précise que Raël explique depuis des années que la croissance exponentielle des données recueillies par les scientifiques mènera de facon inévitable à une époque où tous les grands principes scientifiques seront compris. « Cet instant, que les transhumanistes appellent la ‘’Singularité’’, devrait intervenir entre 2025 et 2035 » conclut Brigitte Boisselier.