A propos de conformisme social
Une �tude conduite par le Dr.
Une �tude conduite par le Dr. Gregory Berns, un psychiatre et neuroscientist de l’Universit� Emory d’Atlanta, a �t� publi�e ce 22 juin dernier dans l’�dition �lectronique de� Biological Psychiatry au sujet du conformisme social.
Dans cette �tude, 32 participants devaient dire ce qu’ils voyaient sur une image. Avant que la question ne leur soit pos�e individuellement, elle �tait pos�e � un groupe d’acteurs entourant le participant, acteurs qui avaient entre autres la consigne de donner la m�me reponse �rron�e. Le participant ignorait que les membres du groupe �tait des acteurs. Dans 41% des cas, les participants se sont conform�s au groupe et ont donn� une r�ponse �rron�e. Ce ph�nom�ne �tudi� dans les ann�es 50 par le Dr Asch a b�n�fici� dans cette nouvelle �tude de la technologie scanner MRI qui permet de suivre quelles sont les zones du cerveau impliqu�es lors du processus de r�flexion.
L’�tude a montr� que les personnes qui se conformaient au groupe ne faisaient pas appel aux zones g�n�ralement impliqu�es dans la prise de d�cision consciente mais faisaient appel aux zones impliqu�es dans la perception spatiale. Ceux qui ne se conformaient pas au groupe faisaient eux appel aux zones si�ge des �motions, montrant qu’il en coute de ne pas se conformer au groupe.
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Cette étude montre donc que l’inconfort d’être seul à avoir une opinion peut conduire certains à se joindre à l’opinion de la majorité plutôt que de s’en tenir à sa propre opinion.
L’auteur a ajouté ; « Si la perception de certaines personnes peut être biaisée par la façon dont d’autres personnes voient le monde, alors on peut se poser des questions sur ce qu’est la vérité. »
A la lecture de cet article notre Prophète Bien Aimé RAEL a fait les commentaires suivants :
« Une des plus importantes découvertes de l’année ! Ça s’applique à tout; que ce soit du stupide enthousiasme américain à envahir ou occuper l’Irak en réaction au 11 septembre, ou de réélire Georges Bush, ou d’accepter la torture à Guantanamo, ou encore, de la façon dont les médias français ou que le public français en général parlent de nous et des minorités religieuses dans leur ensemble. Sans parler de l’acceptation de vagues et stupides concepts comme ‘dieu’ ou l’évolution... ou les deux à la fois...
Individuellement, nous savons que la plupart des gens ont de la sympathie pour les Raëliens ou les Juifs, mais lorsqu’ils sont en groupe, ils sentent que de se conformer à l’antiraëlisme ou à l’antisémitisme du groupe les aidera à mieux être accepté par la société. En d’autre termes « Mieux vaut haïr avec tout le monde, que d’aimer et être rejeté »... Nous savons où cela a pu nous mener dans l’Allemagne Nazie ou dans l’Empire Romain antichrétien... sans oublier les génocides Hutu / Tutsi, Serbes / Kosovars, Russes / Tchétchènes, etc...
Le plus important ici est la conclusion officielle de cette découverte scientifique : ‘Si les gens sont conscients de leur vulnérabilité, ils pourront peut-être éviter de se conformer à la pression sociale quand ce n’est pas dans leur propre intérêt.’
Voici donc l’immense responsabilité qui incombe aux médias : d’informer les gens, en les poussant à ne pas se conformer à la haine socialement acceptée, et les éduquer à plus de tolérance, de respect et d’amour pour les minorités.
C’est aussi pourquoi les journalistes peuvent être incriminés, tel ce journaliste condamné à la peine capitale, au procès de Nuremberg, uniquement pour avoir été jugé responsable de la première campagne journalistique antisémite en Allemagne. Et cela s’applique, à un moindre degré, aux pseudo journalistes, comme celles du Journal de Montréal, qui ont incité à la haine envers les Raëliens pendant une semaine entière, pour la seule raison qu’ils sont différents.
Le monde a besoin de gens pour éduquer le public vers plus d’amour et de respect pour les différences, et pour leur enseigner à penser par eux-mêmes, sans jamais suivre la horde de la haine ‘politiquement correcte’, et également, pour protester auprès des politiciens, des dirigeants religieux et des journalistes quand ils diffusent des messages haineux. Ceci s’applique encore plus particulièrement aux journalistes, puisque, sans jamais avoir été élu démocratiquement, ils ont un incommensurable pouvoir de créer la haine et de générer la violence. Nous, Raëliens de langue française, sommes les mieux placé pour le comprendre et en informer le public. Cette information peut revêtir un aspect positif pour les Raëliens des pays francophones, qui, après avoir subi les campagnes de diffamation du Journal de Montréal, peuvent réellement l’utiliser pour informer le public en utilisant cette étude scientifique et pousser les gens à y penser par deux fois avant de se conformer aux jugements ‘politiquement corrects’ à l’encontre des minorités dans leur ensemble, et de nous en particulier. D’une expérience négative peut surgir de très positifs résultats. Les Raëliens des pays francophones peuvent donc jouir du privilège d’agir pour le bien de l’humanité, en diffusant cette connaissance, étant précisément ceux qui en ont souffert. En d’autres termes, nous pouvons faire de nos propres expériences un exemple éducatif pour la société, tout en élevant le niveau d’Amour, de Conscience et de Respect. N’est-ce pas ce que nous, Raëliens, aimons plus que toute autre chose ? »