Si l’on peut lire dans quelques médias que certains se réjouissent du fait que Raël ait perdu, en première instance, son procès en diffamation contre le journaliste Denis Gratton, on peut se demander si Raël, après avoir été la victime de diffamation, n’est pas victime à nouveau de préjugés tels que ceux exprimés par le juge Laramée dans son jugement.
Si l’on peut lire dans quelques médias que certains se réjouissent du fait que Raël ait perdu, en première instance, son procès en diffamation contre le journaliste Denis Gratton, on peut se demander si Raël, après avoir été la victime de diffamation, n’est pas victime à nouveau de préjugés tels que ceux exprimés par le juge Laramée dans son jugement.
Il est bon de se rappeler que des personnes qui, comme Raël, ont apporté la paix et l’amour à l’humanité ont, au cours de leur vie, été rayées et souvent condamnées par les juges de leurs époques; pour n’en citer que quelques-uns, Jésus et Socrate, rayés, condamnés et exécutés, ou même Gandhi que Winston Churchill avait traité de Fakir à demi nu. Mais revenons au fait de ce jugement qui nous concerne, pour qu’une image plus juste puisse être dégagée.
Voici donc un relevé et une analyse des paroles rendues par le juge Laramée concernant le Chroniqueur Denis Gratton quant à ses propos diffamants à l’endroit de Raël publiés dans le journal Le Droit du 23 janvier 2003. À noter que les nombres entre parenthèses réfèrent aux articles du jugement du 21 juin 2006.
À l’article (105), le Juge prononce: > On peut se demander ici pourquoi monsieur Gratton n’est pas condamné pour diffamation, puisque les faits sont reconnus !
Le Juge Laramée va alors évoquer le contexte dans lequel cet article est écrit, notamment l’ensemble des publications injurieuses faites sur Raël à cette époque : la réussite du clonage du premier bébé humain venant d’être annoncée.