Ce samedi 9 juin, des Raëliens de la région de l’Outaouais a participé à la « Naked Bike Ride » d’Ottawa.
Ce samedi 9 juin, des Raëliens de la région de l’Outaouais a participé à la « Naked Bike Ride » d’Ottawa. Ce mouvement international manifeste nu à vélo contre les activités polluantes humaines, telles la consommation de combustibles fossiles et l'utilisation excessive de l'automobile. Leur slogan « less gas, more ass ».
"Les organisateurs du Naked Bike Ride ont accueilli à bras ouverts les Raëliens. Ils ont été très respectueux et semblaient intrigués par l’énergie et les propos de notre groupe. Lors de notre passage, la foule applaudissait, souriait, l’ambiance était superbe." commente Nadia Salois, Guide Raëlienne, coordinatrice de la région d'Ottawa
Les Raëliens sont très concernés par la protection de la planète (voir notamment l'interview de Raël
Donner à la Planète Terre le respect qu'elle mérite en cliquant
ici).
Le Paradisme lancé par Raël en 2009 apporte une solution concrète à la problématique écologique. Ce système politique et d’organisation sociale qui ressemble au système communiste, exempt de toute forme de prolétariat, et qui fonctionne sans banque ni argent, est basé sur l’utilisation des nouvelles technologies (robotique, ingénierie génétique, nanotechnologies, etc.), mises au service de l’être humain. Il suppose que le prolétariat et toute forme de main d’œuvre humaine soient remplacés par les robots, les nanobots et les ordinateurs et que chacun œuvre pour le bien de tous et s'entraide. Tout être humain profite des avantages et de la prospérité qu’apportent la science, la technologie, tout en respectant l’écologie de la planète (voir:
www.paradism.org).
"La lutte contre la pollution est de peu d'intérêt dans notre système économique actuel, où la maximisation du profit l'emporte dans chaque décision et où la surpopulation est la cause réelle de cette pollution. La santé et le bien-être de la population et de toutes formes de vie est la plus élevée si ce n'est que la seule priorité du paradisme." conclut Nadia Salois.