Technologie

Ce que les Ovnis nous apprennent !


16 févr., 2017
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Pourquoi une grande partie de la communauté scientifique est-elle hostile à l’idée que nous soyons visités par des Extraterrestres ? Accepter leur existence serait scientifiquement fécond et provoquerait une ouverture philosophique majeure !

Les scientifiques orthodoxes n’aiment pas qu’on leur parle des OVNIs, car s’intéresser aux extraterrestres est pour beaucoup d’entre eux un sujet sans intérêt dont l’étude ne relève pas de leur méthodologie. Faire des recherches scientifiques débouche sur un discours sur la nature, toujours relié au concret. La science ne s’intéresse qu’aux phénomènes observables et reproductibles. Une étude qui ne s’appuierait que sur des témoignages et des interprétations d’observations non vérifiables relève, pour eux, de la psychologie ou de la sociologie, mais pas de la science.

C’est là une manière expéditive de rejeter des milliers de témoignages d’observations de véhicules volants aux performances considérables et inexpliquées. Les effets décrits par les observateurs fortuits s’avèrent extrêmement cohérents, et dressent un tableau clair et systématique des caractéristiques de ces engins. Ces véhicules sont apparemment pilotés intelligemment, par des occupants dont le comportement systématique est la fuite à très grande accélération vers le ciel. Une minorité de cas témoignent de la présence d’occupants non humains dans ces véhicules. Nous retrouvons des traces d’atterrissages sur le sol, des effets sur la végétation, des pannes de voitures provoquées à distance, des effets physiologiques sur les témoins, et même des observations faites par des témoins forts crédibles, à très courte distance de ces énigmatiques machines.

Les représentants de la science officielle objectent qu’aucune planète du système solaire n’est habitée et que d’éventuels visiteurs devraient venir d’un autre lointain système planétaire. Or pour eux, la distance qui nous sépare des étoiles les plus proches est telle qu’elle nous interdit a jamais la possibilité de contacts directs avec une civilisation qui serait hors du système solaire.

Les vitesses que sont susceptibles d’atteindre les engins terrestres sont dérisoires en regard des distances à parcourir et la durée du voyage serait incompatible avec l’espérance de vie humaine. Le voyage ne pourrait qu’être sans retour ; éventuellement sur plusieurs générations ou en conservation cryogénique.

Plusieurs obstacles apparemment insurmontables apparaissent :

Il y a l’énigme de l’emport de la masse de matière à éjecter pour que ces engins se propulsent dans l’Espace. Jamais les observateurs n’ont rapporté l’observation de l’éjection de quoi que ce soit. Les véhicules se déplaçaient silencieusement à très grande accélération en émettant seulement un peu de lumière. Cela n’avait rien à voir avec nos fusées bruyantes et lentes utilisant le principe de la conservation du moment cinétique. En effet, la quantité de mouvement du véhicule (produit de sa masse par sa vitesse) aurait dû théoriquement être compensée par une quantité de mouvement strictement égale et opposée, obtenue par éjection à très grande vitesse d’une masse stockée à bord. Or la quantité d’énergie cinétique potentielle à embarquer pour un voyage interstellaire (ou même simplement pour effectuer le mouvement accéléré observé) est totalement incompatible avec la taille et la masse approximative de ces engins. Les témoins ne rapportent pas de masse de matière éjectée, et en outre ils décrivent des machines bien trop petites pour y stocker à bord l’énergie du voyage sous quelque forme que ce soit, y compris les formes les plus exotiques imaginables, telles que l’annihilation matière / anti matière.

Une autre énigme, concerne celle des accélérations observées. Les observateurs témoignent des modifications de vitesse gigantesques, des trajectoires chaotiques avec des changements de direction brutaux qui occasionnent pour les passagers des accélérations incompatibles avec la physiologie humaine. Comment un organisme biologique peut-il résister à de telles conditions ?

… et pourtant des visiteurs sont là qui démontrent que le voyage est possible !

Les observations quotidiennes qui sont faites dans l’atmosphère d’engins extraterrestres nous indiquent qu’il existe une solution à tous ces problèmes évoqués : Leur présence démontre qu’ils sont capables de faire le voyage à une vitesse compatible avec la distance, et qu’ils disposent d’une source d’énergie gigantesque que nous avons du mal à concevoir dans le cadre étroit de la science actuelle.

Comment avoir une accélération significative pour atteindre des vitesses de plusieurs milliers de km seconde, voire proche ou supérieure à la vitesse de la lumière ? Quelle technologie utiliser ? Quelle énergie utiliser et où la trouver ?

Les accélérations apparentes observées laissent penser que les organismes situés dans les engins ne leur sont pas soumises. Ce n’est pas le fauteuil qui est accéléré mais le couple fauteuil/passager les deux baignant dans le même champ accélérateur, dans le même flux gravitationnel.

Cela indique que nos visiteurs savent où puiser l’énergie qui leur est nécessaire et ont résolus le problème de la création et de la maitrise des flux gravitationnels.

Si nous maîtrisions les techniques antigravitationnelles et prélevions l’énergie dans le milieu énergétique diffus dans lequel nous baignons tout changerait. Les accélérations et les vitesses atteintes peuvent devenir considérables (des milliers de g). Les problèmes de la résistance physiologique aux grandes accélérations disparaitraient.

Il va falloir changer le regard que nous avons sur la structure de la matière, sur la structure de l’espace. Le frein aujourd’hui est pour nous un blocage conceptuel et une ignorance de ce qu’est la structure fine de la matière. La voie que nous n’éclairerons pas davantage (ici et aujourd’hui) est l’acceptation du modèle d’un univers infini a structure fractale, multi-niveaux, autant vers l’infiniment grand que vers l’infiniment petit. Depuis longtemps déjà des pionniers solitaires travaillent pour percer les secrets de la gravitation. Une ébauche de réponse à toutes ces questions existe, et le plus avancé des chercheurs est Claude Poher. « « Claude Poher (né en 1936) est un ingénieur français, retraité du Centre national d'études spatiales (CNES). Il est ingénieur en recherche spatiale et en électronique, et dispose aussi d'un doctorat d'astrophysique. Il est principalement connu pour son implication dans la création du Groupe d'étude des phénomènes aérospatiaux non-identifiés (GEPAN), la première structure ufologique officielle créée en France, dès 1977, et dévolue à l'étude du phénomène OVNI. » »

Depuis une quarantaine d’années il se trouvait placé, au coeur d’énigmes énergétiques gravitationnelles majeures : d’où provenait l’énergie cinétique des étoiles de toutes les galaxies, et d’où provenait l’énergie cinétique des rares machines volantes décrites par des témoins fortuits ? Et aussi, comment propulser un véhicule spatial massif sans éjecter aucune matière ?

Dès 1980, il avait déjà l’idée que l’énigme gravitationnelle des galaxies était intimement mêlée à celle de la propulsion de ces incroyables machines. En effet, dans les deux cas il fallait qu’existe une source gigantesque d’énergie à laquelle pouvaient puiser les étoiles et les véhicules, et cette énergie gigantesque et diffuse devait être utilisable en tout lieu dans l’Univers. Pour lui, il n’était pas concevable que cette énergie soit seulement l’énergie potentielle gravitationnelle apportée par une masse « cachée de matière inconnue et invisible » se contentant d’entourer les galaxies en un halo de très grande taille. Il fallait absolument que cette même énergie soit exploitable dans le pré du fermier local où un engin volant avait évolué à grande accélération. C’est alors en 1980 qu’il a imaginé le concept théorique d’un flux cosmologique isotrope de quanta porteurs chacun d’une infime quantité de mouvement qu’il a dénommé : les Universons. C’était la cause supposée de la gravitation dans son esprit. L’existence de ce flux naturel était indispensable afin de résoudre les deux énigmes, et il convenait ensuite de tenter de comprendre comment extraire de l’énergie cinétique de ce flux naturel.

Au début il n’avait pas encore la moindre idée à propos de l’interaction de ce flux hypothétique avec la matière, donc il restait beaucoup à imaginer et à vérifier. Et il était seul face à cette tâche. Ce qui était le plus clair dans son esprit était le fait expérimental astronomique : les étoiles étaient capables d’extraire 90 % de leur énergie cinétique de ce flux naturel quantifié isotrope. Et si les étoiles savaient le faire, alors une technologie plus avancée que la nôtre pouvait l’avoir fait aussi, ce qui pouvait en théorie lui donner accès aux voyages interstellaires.

Il s’est donc lancé dans l’élaboration progressive d’un modèle théorique fondé sur des hypothèses cohérentes avec les observations. Ce fut une élaboration théorique semée d’embûches multiples, parce qu’il ne parvenait pas à une suite d’hypothèses acceptables dans le cadre de la physique connue. En effet, pour qu’il soit possible d’extraire de l’énergie cinétique du flux naturel qu’il avait imaginé, il fallait que le comportement des grains d’énergie dont devait se composer ce flux énergétique aient un comportement très particulier vis-à-vis de la matière normale. D’une part, il fallait que ce flux véhicule une énergie gigantesque, et d’autre part il fallait qu’il passe totalement inaperçu, puisqu’on ne l’avait jamais détecté. Cela signifiait pour lui la nécessité d’imaginer un nouveau type d’interaction fondamentale entre les grains d’énergie (les Universons) et les particules élémentaires de matière. Il s’agissait de découvrir un type particulier d’interaction quantique.

Les quanta gravitationnels du flux ne pouvaient en effet pas entrer en collision avec les particules de matière et leur céder leur quantité de mouvement comme dans le choc de deux boules de billard. D’ailleurs, les Lois de la mécanique céleste étaient très formelles à ce propos. Toute idée de collision échouait systématiquement. Et pourtant le flux devait pouvoir céder de formidables quantités de mouvement à la matière des étoiles ou à celle de véhicules !

Puis vint le passage à la vérification expérimentale

Réalisations expérimentales: Claude Poher a réussi à créer un matériau céramique qui à basses températures (dans l'azote liquide), lorsqu'il est parcouru par un courant très important sous haute tension (courant de 1000 Ampères sous 1000 V) accélère les électrons en son sein et produit alors un flux d'universons. Il l'appelle à juste titre son émetteur d'universons.

Ses universons ont été utilisés pour démontrer: * l'accélération de la matière située dans le pinceau, et ce quel que soit le masquage et le nombre d'éléments empilés dans le pinceau, montrant que les universons traversent la matière sur de grandes distances sans soucis et provoquent bien un mouvement en son sein. La matière a été accélérée à des hauteurs fantastiques (plusieurs centaines ou milliers de g). Heureusement l'accélération dure très peu de temps, mais sur 2 micros secondes elle engendre une force de plusieurs centaines de grammes, même dépassant le kilogramme.

Preuves de sa théorie: Outre les expériences qui démontrent la validité de sa théorie de manière flagrante; en tant qu'astrophysicien; Claude Poher a montré que sa théorie explique beaucoup des mystères astronomiques connus actuellement: * le ralentissement des sondes Pioneer qui sortent du système solaire * la masse manquante de l'univers, qui n'existe pas: ce sont les universons qui manquent à notre théorie! * l'accélération non comprise des morceaux des galaxies spirales selon leur distance au centre * et de nombreux autres points que je n'ai pas repris Poher a créé le GEPAN lorsqu'il travaillait au CNES, et c'est parce qu'il s'est intéressé aux propulsions des OVNIs qu'il a travaillé sur sa théorie de l'anti gravité.

Il explique aussi de nombreux phénomènes habituels des observations d'Ovnis: pannes de voiture, paralysie des personnes, mouvement des Ovnis d'accélération brusque et comment la technologie d'universons permet simplement d'annuler l'inertie à bord d'un aéronef se déplaçant par flux d'universons, etc.

La présence de vaisseaux extraterrestres depuis des milliers d’années dans notre proche environnement doit nous inciter à changer nos paradigmes – oui ils sont là ! Il n’y a rien à croire mais il faut un minimum de bon sens pour comprendre …. Leur présence discrète mais permanente est aussi une clé majeure qui confirme les Messages Raëliens donnés en 1973 et 1975 à celui que ces visiteurs appelèrent Raël. Beaucoup n’ont pas encore pris le temps d’essayer de comprendre …

Le milieu énergétique diffus et les techniques d’antigravitation nous seront très bientôt accessibles, mais le meilleur côtoie le pire. Ces travaux peuvent déboucher sur le développement et le bien-être pour l’humanité mais ils peuvent aussi accélérer sa destruction. Des individus sans conscience ayant accès a une énergie omniprésente et inépuisable pourront, si leur niveau de conscience est insuffisant, construire des armes capables de détruire l’humanité.

Marcel Terrusse

Bibliographie : « Gravitation, Universons l’énergie du futur » C.Poher 2003 aux éditions du Rocher (ISBN 2 268 04789).

« Gravitation et Universons » Claude Poher 2016 Version ebook sur http://www.universons.com/

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