En ce 40ième anniversaire des positions officiel de l’Eglise catholique sur la sexualité, la contraception et les méthodes de procréations artificielles, le pape Benoît XVI disait de la sexualité qu’elle pouvait « devenir une drogue ».
Il expliquait qu’il craignait que le sexe puisse « se transformer en une drogue pouvant mener à l’obligation de son partenaire d’avoir une relation sexuelle contre sa propre volonté ». La première chose qui vient à l’esprit est de lui demander si il a acquit ce savoir en matière d’addictions sexuelles des centaines de prêtre violeurs de nonnes ou pédophiles. …

La possibilité d’une addiction au sexe est connue. Comme tout autre plaisir, le plaisir sexuel peut devenir additif pour individu au cerveau instable, tout spécialement si un tel plaisir est interdit. De plus, les experts sont d’accord pour dire qu’un individu ayant une vie sexuelle saine et épanouie a plus de chance d’être harmonieux et d’être assuré de ne pas être dépendant. Si un individu impose d’avoir une relation sexuelle à son partenaire c’est certainement parce que son prêtre lui a dit qu’il ne pouvait n’en avoir qu’un seul.  Une vie sexuelle saine inclus de pouvoir avoir différents partenaires si sa libido le nécessite. Il n’y a rien de mal à ça et les prêtres catholiques devraient avoir cette possibilité afin d’éviter à tant d’enfants d’être harcelés.

Mais en parlant d’addiction, le Prophète Raël explique que la croyance en un dieu surnaturel et tout puissant est une drogue tellement plus dangereuse que la sexualité. « La sexualité n’est pas à la base de guerres. La religion si. Des millions de gens se sont vus tués ou torturés par des fanatiques , et cela existe toujours dans les pays musulmans aussi bien que dans les pays chrétiens comme les états unis qui ont été plusieurs fois exposés pour la torture de prisonniers musulmans. Le mythe de Dieu est la plus dangereuse des drogues. »